Voyance audiotel, comment faire pour éviter les arnaques?

Le voyant doit vous définir ces informations !

Il y a trois grandes catégories, la voyance sans support, la voyance avec supports et la voyance sur support directif.

La première s’effectue par des flashs ou des visions du type : clair-voyance clair-audience et autres formes sensorielle etc.

La deuxième utilisera tout les supports évocateur possible: oracle tarot, rune, Yi-King, géomancie etc.

La troisième utilisera touts les supports directif : Cristallomancie, hydromancie, Catoptromancie, Pyromancie, Radiesthésie etc.

Un voyant n’a besoin que d’un prénom et d’une date de naissance pour situé votre âge et coordonnée ce qu’il perçoit.

Quand vous consulter pour la 1ère fois un voyant que vous ne connaissez pas. Il ne faut rien dire, pour ne pas l’orienter vers vos attentes dans un premier temps ! Au fil de la conversation, vous devez avoir des faits énoncer qui doivent ce rapprocher de votre vie pour confirmer ce que vous dit le voyant !

Pour ma part :
Généralement, je demande au consultant de ce taire et de me laisser dire ce que je vois en premier. Ainsi cela permet de dire ce que l’on ignore et qui touche la personne! (Une preuve réel de don pour moi.) Est quand j’ai fini on passe aux différentes questions que la personne ce pose !

La vrai voyance audiotel permet d’avoir un rapide aperçu de l’environnement du consultant ! C’est un des traits d’une véritable voyance.

Selon la loi, le praticien des arts divinatoires n’est tenu qu’à une obligation de moyens (utilisation de ses connaissances, de son savoir, de son don…)

Dans le domaine des arts divinatoires, cette obligation de moyens interdit au praticien de faire état de certitudes, de garantir la réalisation certaine événements ou la justesse de ses prédictions.
« Chose qui est paradoxale pour moi puisque l’on le consulte pour renforcer une certitude ? »
D’où les abus et la porte ouverte à toute les escroqueries qui s’en suis…

Ensuite les tarifs à la minutes, L’audiotel et tous les trucs du même genre sont à proscrire. Par respect pour les personne qui consulte on n’est pas à une minute près par correction et savoir vivre.

Le professionnel doit s’engager à informer chaque client des disposition suivante :

du champ d’application et des limites des arts divinatoires
de la durée approximative de la consultation
de ses honoraires, prix, tarifs.

Et enfin on doit savoir que les honoraires des praticiens sont libres et dépendent de la compétence réelle et confirmée des intéressés. Ils doivent faire l’objet d’un affichage clair dans le cabinet ou d’un énoncé clair lors des consultations téléphoniques ou par e-mail.

On doit aussi pouvoir trouver clairement en information que toute réclamation ou contestation sera reçue avec une attention particulière par le praticien pour trouver une solution amiable.

Et que le cas échéant avec l’assistance ou l’intervention d’une association de consommateurs (qui conformément à sa mission prévue dans ses statuts), s’engagera à faire le nécessaire pour trouver une solution entre les deux parties. C’est une garantie d’honnêteté ! Association du type INAD par exemple !

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